Au Bangladesh, les marques complices de la répression
Un an après les manifestations massives pour une augmentation du salaire minimum dans les usines de prêt-à-porter du Bangladesh, 40 000 personnes risquent toujours la prison. Les marques doivent appeler à la levée immédiate des poursuites et faire respecter la liberté syndicale dans leurs chaînes d’approvisionnement. En France, les entreprises complices de la répression sont Carrefour, Decathlon et Kiabi.